|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]
|
|
|
|
L'incompétence au service de la France !
23/04/2009 19:03
L’affaire « Rachida Dati » pourrait être anecdotique si elle ne se cantonnait qu’à elle seule. Mais hélas, c’est une affaire symptomatique du traitement que fait l’UMP pour les affaires européennes… Bruxelles ne représente aux yeux des cadres de ce parti qu’une maison de retraite dorée pour les ministres dont on ne veut plus aux affaires nationales (Tokia Saïfi, Rachida Dati …). On les transfert dans des listes sans qu’ils aient les qualités requises pour défendre les intérêts français au parlement européen. Ces méthodes sont condamnables et témoignent encore une fois du mépris qu’à l’UMP pour les Français. On ne s’étonne plus du reste que
la France
ne soit plus représentée aux instances européennes. Comment le serait elle puisque les euro-députés UMP, mais aussi PS, FN et MPF considèrent le parlement européen comme un endroit de villégiature plutôt qu’un lieu de travail au service de
la France. Le
7 juin, il faudra s’en souvenir !
PW
| |
|
|
|
|
|
|
|
Nicolas Dupont-Aignan était tôt ce matin au M.I.N de Rungis pour rencontrer les professionnels des filières "pêche’" et "fruits et légumes"
23/04/2009 13:04
Nicolas Dupont-Aignan s’est rendu ce matin à 3h30 au M.I.N de Rungis accompagné de Jean-Pierre Enjalbert (tête de liste Ile-de-France de Debout la République) et de Dominique Mahé (deuxième de liste).
Au Pavillon de la Marée, ils ont rencontré les grossistes de la filière pêche. Sur les étals, des poissons en provenance d’Angleterre, de Norvège, du Chili et d’Afrique du Sud... Mais quasiment pas de pêche française. Interrogés sur cette absence, les grossistes ont apporté la réponse : "du fait des quotas imposés par Bruxelles, nous avons le choix entre acheter 500 kilos de cabillaud à 9 euros le kilo à un pêcheur français, ou 500 tonnes du même cabillaud à un pêcheur norvégien, qui le vend 3 euros le kilo, transport compris parce qu’il peut produire en grande quantité. Or si nous voulons être compétitifs, nous sommes obligés d’acheter le cabillaud aux Norvégiens...".
Constat identique au "Carreau des producteurs", où les petits producteurs d’Ile-de-France viennent vendre en direct leur fruits et légumes sans passer par les grossistes. Ici, la concurrence déloyale se présente sous plusieurs formes : que ce soit les milliers de tonnes de pommes ionisées (technique de conservation interdite en France) qui viennent de Chine et envahissent le marché français, ou les légumes espagnols, produits avec l’utilisation d’un insecticide chimique considéré comme non bio en France, mais qui disposent tout de même du label bio dans nos magasins (car l’insecticide en question entre dans la filière bio selon les normes en vigueur en Espagne).
Au cours de ces rencontres, Nicolas Dupont-Aignan a ainsi pu vérifier la pertinence de l’une des mesures phares du projet européen de Debout la République : l’urgence de mettre en place un protectionnisme européen pour taxer les produits importés qui ne respectent pas nos normes sociales et environnementales.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Vers la mort programmée de la pêche artisanale française ?
22/04/2009 15:46
« Il fallait râler avant ». C’est par cette phrase pleine de mépris que la porte parole du Commissaire européen aux affaires maritimes a accueilli la revendication des pêcheurs français d’une augmentation des quotas. Ainsi, le cri de désespoir d’une profession qui ne veut pas mourir est ramené à une simple protestation, équivalente à celle de l’automobiliste qui s’impatienterait derrière un feu rouge. A aucun moment, il ne semble venu à l’esprit de la porte parole que si les pêcheurs « râlent » c’est parce qu’ils ont été abandonnés.
Abandonnés par l’Europe d’abord. En effet, c’est Bruxelles qui décide chaque année d’un quota de pêche global par catégorie de poisson. Ce quota est fixé en fonction de l’avis d’un comité d’expert (un seul groupe d’expert, choisi par la commission elle-même) et en fonction des négociations faites avec les autres pays de pêche non membre de l’Union (essentiellement la Norvège). Dans le cas du cabillaud, la Commission a si bien défendu les intérêts de l’Europe que la Norvège (5 millions d’habitants) pêche à elle seule 10 fois plus que toute l’Union Européenne réunie (qui pourtant regroupe plus de 400 millions d’habitants). Résultat de la politique européenne censée protéger la ressource marine : les pays européens et en particulier la France se retrouvent à devoir importer massivement du poisson venu de Norvège… poisson qu’ils auraient pu pêcher eux-mêmes.
Mais la Commission n’est pas seule responsable du malheur des pêcheurs français. En effet, une fois le quota global de pêche arrêté, ce sont les ministres européens de la pêche qui décident de la répartition de ces quotas entre les différents Etats membres. Et le ministre français de l’époque, Michel Barnier, avait voté l’accord octroyant à la France seulement 13% des quotas de cabillaud – moins de 2% si l’on tient compte de la Norvège - (soit deux fois moins que le Danemark pourtant 10 fois moins peuplé).
Pour répondre à la colère des pêcheurs, la proximité des élections européennes aidant, le ministre candidat (UMP) Michel Barnier a proposé une aide d’urgence de 4 millions d’Euros. Même si cette aide venait à être versée – les pêcheurs attendent toujours le paiement des aides promises l’année dernière -, elle ne résoudrait rien. En effet, les pêcheurs ne demandent pas l’aumône, ils espèrent juste une révision des quotas pour pouvoir vivre dignement de leur travail. Mais, le ministre ne l’entend pas de cette oreille et se refuse à toute renégociation des quotas au motif que le problème ne vient pas des quotas mais du nombre trop élevé de bateaux de pêche (et donc de pêcheurs ?). Le ministre n’est donc pas dans une logique de sauvegarde des emplois mais bien dans une logique d’accompagnement de la mort programmée de la pêche artisanale française.
Debout La République ne se résigne pas à la disparition de la pêche artisanale française et demande à ce que les intérêts de nos pêcheurs soient enfin correctement défendus à Bruxelles. En particulier, nous demandons un relèvement des quotas attribués à la France et une renégociation de l’accord avec la Norvège. Si Bruxelles refuse, nous attendons du gouvernement qu’il s’exonère des quotas européens de pêche et qu’il négocie de nouveaux accords !
| |
|
|
|
|
|
|
|
Je propose une refonte complète des institutions européennes supprimant la Commission et créant des agences de coopérations à la carte, projet par projet
22/04/2009 15:08
"Nous sommes dans la politique de la frime, du fric et du show biz"
Metrofrance.com 22 avril 2009
Nicolas Dupont-Aignan, Président de Debout la République, député de l’Essonne et candidat aux élections européennes dans la circonscription Ile-de-France a répondu aux questions des metronautes.
Pomme75 : C’est quoi les grandes lignes de votre programme ?
Réorienter l’Europe pour sortir les européens et notamment les Français de la crise. Réorienter l’Europe en la rendant d’abord et avant tout plus démocratique. Est-il acceptable qu’après les référendums de 2005 en France et aux Pays Bas, que les dirigeants européens aient fait adopter par les Parlements un traité de Lisbonne identique à la Constitution européenne rejetée par les peuples. De même on demande maintenant aux Irlandais qui ont rejeté Lisbonne de revoter. Je propose une refonte complète des institutions européennes supprimant la Commission, revalorisant les parlements nationaux, le Parlement européen et créant des agences de coopérations à la carte, projet par projet. L’autre ambition de mon projet est de changer radicalement de politique économique pour protéger enfin les européens d’une mondialisation inhumaine.
Aligot : C’est quoi votre vision de l’Europe ?
Pour moi, l’Europe doit servir à faire ensemble ce qu’aucune nation ne peut faire seule. Je suis donc comme gaulliste favorable à une Europe des nations qui organise des coopérations projet par projet. Cela veut dire concrètement mettre fin à une supranationalité boulimique qui veut que l’Union européenne uniformise la vie des habitants des 27. Plutôt que de frustrer les nations et les peuples laissons les vivre chacun à leur façon et privilégions une Europe qui relève les défis de la mondialisation. L’enjeu du 21ème siècle est scientifique, industriel, environnemental. Depuis 20 ans obsédée par cette volonté d’uniformiser la Commission a délaissé la compétition économique mondiale. Pourquoi ne pas avoir mis en œuvre des agences de coopérations sur le modèle de l’Agence spatiale européenne pour inventer la voiture propre, progresser dans la lutte contre le cancer, développer les énergies renouvelables, etc... Je veux tout simplement une Europe qui marche et si l’on regarde les 30 dernières années ce sont les coopérations intergouvernementales type Airbus ou Ariane qui ont produit des résultats.
Rudolf : Comment avez-vous constitué votre liste ?
Notre mouvement Debout la République a tout d’abord désigné 7 têtes de liste pour les 7 grandes régions métropolitaines. Ensuite, le mouvement a choisi les différents membres en tentant de concilier l’engagement militant, la répartition géographique, la connaissance des problèmes européens. Nos listes rassemblent des républicains de droite comme de gauche qui sont attachés à cette Europe des Nations et des projets. Beaucoup de chevènementistes aussi figurent sur nos listes.
Lire la suite sur metrofrance.com
| |
|
|
|
|